La découverte est d'importance!

Un souterrain de taille unique et de longueur incroyable vient d'être découvert au fort du Mûrier sur la commune de Giéres (38160),

à la faveur d'un éboulement . Il relierait l'une traboule de la  rue royale (au numéro 4) plus exactement de la ville Lugdunum à plus de 100km exactement.

Il daterait peut-être  du 4 eme siecle avant jésus-Christ et a connu le sommet de sa fréquentation au moyen âge quand les canuts chargeaient les gones

de faire circuler un bien rare et précieux (la soie) de maniére clandestine pour aller se vendre du côté de la savoie, de ses ducs et de l'italie !

Une des premiéres routes de la soie naissait avec le commerce, l'exploitation clandestine des enfants et travailleurs de toutes sortes, on ne leur demandaient ni leur papier ni leur profession de foi, seulement . Ils recevaient nourriture bonne et abondante (charcuterie, fromage).

Une lettre miraculeusement retrouvée nous etranscrit cette ambiance incroyable: ....."les gones à regonfle baissaient le cotinet et allant à borgnon, s'éclairant avec des rats de cave....

ils se nourissaient de matefaim et de grattons.....et parcouraient des mille et des cents pour le comte des vitriers et soyeux ...."

Ce souterrain reliait le fort du Murier situé aux porteS du grésivaudan, duché des ducs de savoie et Lugdunum dans les temps anciens.

Un traffic d'importance reliait la rue royale sur les pentes de la croix rousse à la rue cavenne à la guillotiére ou divers artisans travaillaient à la confection de soierie originales et raffinées.

Un groupe trés actif de "voraces" animaient des fêtes, causeries, révolutionnaires où l'on refaisait déjà le monde, ses utopies et régles de vie, rêve, pensées.

Il sévissait au 33 rue pasteur au fond d'une cour joyeuse, bruyante et métissée!

Je vous envoie de suite pour preuve les quelques photos de cette découverte hors du temps

archanéologiquement vôtre,

To Me

Un 16 octobre de l'an 2010,

une drôle de tribu s'agitait dans la rue pasteur.

Malgré le froid, la grisaille et la pluie, il y avait des individus de bonne humeur qui s'adonnaient à d'étranges activités...

Certains inventaient des mots nouveaux, d'autres modelaient des fétiches dans la terre ou laissaient des empreintes bizarres, il y en a même qui se faisaient tirer un portrait de famille avec des gens qui ne sont pas de leur famille,

le tout en mangeant des sardines...

Ca y est "Les Fouilles ARCHEONOLOGIQUES" de la rue Pasteur ont commencé!

Sean Cassidy est un héritier d'un château ancestral en Beaulolais et d'une petite fortune. Il se maria avec Maeve Rourke, et travailla pour intergendarm à Lyon Alors qu'il était en mission pour une longue période, sa femme apprit qu'elle était enceinte et mit au monde une fille nommée Theresa. Sean n'était toujours pas rentré de mission et ne sut pas qu'il était père lorsque Maeve fut tuée dans un accident de cariole.Noir Thomas le cousin de Sean, recueillit l'enfant et projeta de l'élever lui-même. Lorsque Cassidy revint, il fut effondré d'apprendre la mort de son épouse et personne ne lui apprit l'existence de sa fille.

Cassidy quitta intergendarm. Changeling découvrit son existence via le groupe Factor Three. Il l'invita à rejoindre l'Organisation. Lorsqu'il apprit les objectifs de ce groupe, Cassidy refusa. Il fut alors capturé et on lui posa un bandeau autour de la tête contenant des explosifs pour le forcer à obéir. Avec ses pouvoirs soniques, il utilisa le nom du Hurleur (Banshee en VO, en référence à l'esprit de la mythologie irlandaise).On entendit plus parler de lui durant des siècles jusqu'’aux travaux de voirie rue Montesquieu .

L'histoire chez les Amérindiens ne pouvait se transmettre que par la forme verbale. Légendes, contes, aventures de chasse et faits historiques ont voyagé à travers le temps et se sont transformés dans la bouche des conteurs. L'exactitude des lieux, des dates et des acteurs n'avait pas la même importance que pour les historiens occidentaux d'aujourd'hui.. Pour les gens des Premières Nations, ils voient l'histoire comme un cercle où le temps revient continuellement sur lui-même dans la bouche des conteurs. Les Amérindiens, s'appuyant sur leur tradition orale, soutiennent que leurs ancêtres ont toujours habité là. Pourtant l’arrivée des premiers hommes en Amérique remontait à 12 000 ans environ, mais des découvertes archéologiques récentes feraient remonter les premières migrations à plus de 40 000 ans  venant des berges du Rhône  plus précisément de la guill’ comme en atteste ses plans et images

L'histoire chez les Amérindiens ne pouvait se transmettre que par la forme verbale. Légendes, contes, aventures de chasse et faits historiques ont voyagé à travers le temps et se sont transformés dans la bouche des conteurs. L'exactitude des lieux, des dates et des acteurs n'avait pas la même importance que pour les historiens occidentaux d'aujourd'hui.. Pour les gens des Premières Nations, ils voient l'histoire comme un cercle où le temps revient continuellement sur lui-même dans la bouche des conteurs. Les Amérindiens, s'appuyant sur leur tradition orale, soutiennent que leurs ancêtres ont toujours habité là. Pourtant l’arrivée des premiers hommes en Amérique remontait à 12 000 ans environ, mais des découvertes archéologiques récentes feraient remonter les premières migrations à plus de 40 000 ans  venant des berges du Rhône  plus précisément de la guill’

comme en atteste ses plans et images

Depuis toujours (Pline le très anciens le notait déjà )

Les 16 octobre on peux observer sur les berges du Rhone

la migration des sirenes qui vont, pour frayer,

  remonter jusqu’aux sources du   « Nil » 

((ar)nīl), vient du grec Νεῖλος (Neilos), signifiant la

« vallée de la rivière des amours des sirènes ».

Les Égyptiens anciens l'appelaient itéru (trans. =  signifiant « la grande rivière ou forniquent les sirènes » , représentée par les hiéroglyphes :

En arabe on écrit النيل (An-Nil).) 

à suivre

sur le 

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